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Collaboration réussie : la BPGO et Senext au service des jeunes et des futurs retraités

27 octobre 2020

Prendre sa retraite ne rime pas forcément avec fin de carrière ! Pour preuve, la BPGO et Senext se sont associés pour aider les futurs retraités à préparer leur (nouveau) projet de vie. Une collaboration rendue possible grâce à une rencontre au sein du réseau, chez 1Kubator. Récit.

Les premiers échanges entre BPGO et Senext

Collaboration réussie : la BPGO et Senext au service des jeunes et des futurs retraités
Stéphanie Maros, dirigeante de Senext

Senext est une startup pleine de bonne volonté et d’ambitions. L’histoire commence en 2019, alors que Stéphanie Maros, la fondatrice, prend ses quartiers dans les locaux d’1Kubator, au Mabilay. Son idée : créer une plateforme de mise en relation entre entreprises et jeunes retraités actifs, pour des missions ponctuelles dans des domaines aussi variés que le conseil stratégique, la prospection commerciale ou la relation clientèle… Et ce, avec deux objectifs. Le premier : permettre aux seniors de poursuivre une activité professionnelle et maintenir un lien social, tout en respectant leur nouveau rythme. Le second : répondre aux besoins de nombreuses TPE et PME, qui manquent de temps et de ressources pour exécuter certaines tâches, ou les confier à des profils qualifiés.
En parallèle, Stéphanie Maros déploie un service d’un genre unique, qui vise à valoriser le parcours de ceux qui ne sont plus en poste, en coachant leurs pairs pour la suite de leur carrière. Et si on vous disait qu’il existait une formation pour se préparer à la retraite ? Stéphanie Maros la présente en ces mots : « C’est un concept gagnant-gagnant, car l’intervenant — retraité — peut transmettre ses compétences, rester actif et générer un complément de revenu. L’entreprise, elle, bénéficie de son expérience et offre un réel support à ses collaborateurs sur le point de quitter le milieu du travail ».
C’est sur cette base que l’entrepreneure prend appui pour faire connaître Senext à Camille Chollet, avec qui elle partage son bureau. Il deviendra son interlocuteur principal au sein de la BPGO. Il se souvient : « Après avoir identifié les enjeux de Senext et déterminé dans quelle mesure nos deux structures étaient complémentaires, nous avons organisé une réunion avec la direction de la Formation BPGO. Très vite, nous sommes passés à la deuxième étape : définir les modalités d’un partenariat et d’une expérimentation avec nos équipes ».

Deux entreprises liées par leur désir d’innovation

Collaboration réussie : la BPGO et Senext au service des jeunes et des futurs retraités
Camille Chollet, Digital Champion chez Banque Populaire Grand Ouest

La machine est donc lancée dès le début de l’année 2020. L’expérimentation se déroule sur trois sessions d’une demi-journée chacune. Les retours sont positifs, les formats sont adaptés au fur et à mesure et les contenus enrichis. Pour Camille Chollet, « grâce à ce partenariat, nous avons pu accompagner nos salariés en pré-retraite, et les aider à mieux comprendre les acteurs et les dispositifs, en vue de démarrer leur ‘nouvelle vie’ de la meilleure des manières ». Et d’enchérir : « Ce service est une valeur ajoutée pour notre plan de formation, car il y associe une expertise issue de l’écosystème innovant de notre territoire — celle de la pédagogie autour de la continuité professionnelle. De son côté, Senext a eu l’occasion d’expérimenter sa formation, et d’en valider le programme à travers des retours concrets ».
Stéphanie Maros souligne également que cette aventure avec la BPGO lui a donné de l’assurance. Elle détaille : « Travailler avec la BPGO en tant que partenaire et client, confère à Senext une certaine légitimité pour approcher d’autres groupes de renom ! ».
 

Et la suite ?

Aujourd’hui, Stéphanie Maros entend bien industrialiser le contenu de sa formation pour la rendre scalable. Un souhait partagé par nos deux interlocuteurs puisque désormais, les sessions proposées par Senext sont inscrites dans le plan de formation 2020 de la BPGO. Elles sont d’ores et déjà prévues pour 35 membres du personnel du groupe bancaire.
Notre jeune startuppeuse vise même encore plus loin : « En poursuivant avec la BPGO, j’espère développer le concept pour l’adresser aux autres caisses régionales, soit 18 au total ». Voilà un programme riche et bien ficelé !
 

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